Les problèmes de santé ne s’arrêtent pas au seuil du domicile. Les problèmes mentaux, familiaux ou autres vous accompagnent également au travail. De même, ne considérer le bien-être (mental) que dans un contexte professionnel serait incomplet et, dès lors, à déconseiller. Nous espérons tous que les travailleurs prennent soin d’eux-mêmes : un cours de mindfulness le week-end, du yoga au saut du lit et un repas sain et équilibré dans l’assiette… Résultat : nous attendons encore souvent que le collaborateur craque pour lui proposer ensuite un accompagnement afin qu’il puisse reprendre rapidement le travail. Too little, too late ! L’individu est un tout Les organisations progressistes se rendent compte qu’il convient d’adopter une approche du bien-être au travail qui soit holistique. Celle-ci doit prendre en compte de manière individualisée les risques sur les plans physique, mental et spirituel. Et, dès lors, avoir un impact à la fois sur le travail...
