Avec un résultat global de 7 sur 10, on peut dire qu’il y règne un certain optimisme sur les lieux de travail. D’après le baromètre du « jobtimisme », qui évalue l’optimisme ressenti par les salariés sur leur lieu de travail, une petite moitié des répondants (41%) sont même résolument optimistes (résultat supérieur ou égal à 8 sur 10), tandis que près d’un quart (22%) sont résolument pessimistes (résultat inférieur ou égal à 5 sur 10).
Cependant, un travailleur sur cinq se déclare moins optimiste depuis l’éclatement de la crise sanitaire. Dans le même ordre d’idée, un quart des travailleurs se sent moins énergique au travail et un cinquième dit avoir perdu en sécurité d’emploi. Pour un peu moins d’un répondant sur cinq, c’est aussi l’agrément au travail qui s’est détérioré.
L’étude menée pour Tempo-Team révèle toutefois que les optimistes sont mieux armés que les pessimistes pour résister à l’impact du coronavirus sur leur lieu de travail. Par rapport à leurs collègues pessimistes, ils déclarent bien plus souvent que le plaisir au travail, l’ambiance, l’esprit d’équipe et l’équilibre avec la vie privée ont augmenté depuis le confinement. Ils disent aussi éprouver davantage d’énergie, de confiance et envisager l’avenir de façon plus positive.