L’enquête publiée par Hays montre que près d’un répondant sur deux (47%) est moins positif à l’égard de son travail. Pour les salariés belges, le soutien dont ils bénéficient en matière de bien-être physique (34%) et mental (36%) est insuffisant. Selon 29%, la présence d’un filet de sécurité sur le lieu de travail est inexistante ou insuffisante.
En raison de la crise du coronavirus, le soutien mental est devenu plus important pour 49% des travailleurs, suivi par le filet de sécurité sur le lieu de travail (44%) et le soutien physique (40%). C’est un défi pour les employeurs de répondre rapidement à l’évolution des besoins pour contrer la diminution de la loyauté.